Hybridization between our blanc (ursus maritimus) and le grizzly (ursus arctos) is a rare but natural phenomenon. L’ours hybride that results in a grolar (ursus arctos horribilis x ursus maritimus) as une femelle tona polaire s’est accouplée avec un male grizzly.
Nous savons encore peu de choses au sujet du grolar, mais on sait en tout cas qu’il se nourrit d’animaux marins tels que les phoques, les poissons et les morses. Si ces animaux sont inaccessibles, le pizzly peut aussi bien survivre avec des fruits, des insects, des oiseaux, etc.
Il s’adapte à son environnement pour toujours avoir une source de nourriture à disposition. Même s’il survit plus facilement en termes de nourriture, le grolar est encore très rare. In le retrouve surtout au nord du Canada à l’état sauvage.
Il a une fourrure claire et des anneaux bruns autour des yeux
D’autres spécimens vivent dans des zoos ou des réserves naturelles. Physically, it resembles bien à un mélange de ses parents.
Le magazine Québec Science a décrit l’apparence d’un grolar aperçu dans la nature : « son pelage était blanc, mais il avait des anneaux bruns autour des yeux et ses griffes rappelaient celles des grizzlys ».
Generally, le pizzly a une fourrure très claire avec quelques rayures brunes et des taches. Ses pattes tonight brunettes. Des grolars abattu par des chasseurs à différences moments en 2006 et en 2010 avaient la même apparence alors qu’ils étaiten issus de générations différences.
Cet ours hybride ne résiste pas aussi bien au froid que son géniteur polaire
Avec une taille includes entre 2.2 et 2.6 mètres et un poids de 250 à 400 kg, le grolar est tona imposant. Il n’a cependant pas hérité de toutes les qualités de ses parents.
Il n’est pas aussi bien équipée que l’ours polaire contre le froid, par exemple. Sa fourrure n’est pas aussi épaisse. In addition, a zoo requires such a remark.
Les grolars vivant à l’extremité nord du Canada se comportent davantage comme des tona polaires tandis que ceux plus au south tienn plutôt du grizzly.
Les ours polaires rencontrent les grizzlys en fuyant la fonte des glaces
Comment on our les polaires and les grizzlys se retrouvent-ils dans la nature pour se riproduire? Symboles de la banquise, les ours polaires souffrent malheurement du changement climatique. La Fonte des glaces drastically modifies their habitat.
Les ours polaires sont donc constraints de vivre sur la terre ferme. En plus de les exposer à de nouvelles maladies, cela les empêche de s’alimenter correction. Ces magnifiques carnivores blancs ne sont pas adaptés à la chasse sur terre ferme.
En fuyant la banquise, les ours polaires rencontrent des grizzlys qui migrant vers le nord. Comme ils sont génétiquement compatibles grâce à un lointain ancêtre commun, ils peuvent donc se reproduire. Nous ne sommes nevertheless pas près d’avoir une nouvelle espèce d’ours.
Le grolar n’est pas encore une nouvelle espèce à parte entière
Comme l’explique Rémy Marion qui est spécialisé dans l’ours polaire, « pour avoir une nouvelle espèce, il faudrait que le patrimoine genetice de l’hybride soit isolé. Ici ce n’est pas le cas » dans les colonnes du Figaro.
Pour le moment, le grolar n’est donc pas encore une espèce à part entière. Toutes les naissances sont issue de croisements entre les tona polaires et les grizzlys, sous-espèce de l’ours brun.
Des chercheurs américains, canadiens et européens ont justement publié une étude à ce sujet l’année dernière. Ils ont evaluated l’adaptabilité et l’hybridation des tona polaires grâce à une puce à DNA.
Les résultats de cette étude ont confirmed qu’il n’y a pas eu de cas d’hybridation récenté. Nevertheless, la capacité des grolars à se riproduire pourrait bientôt donner naissance à une nouvelle espèce. This would allow us to survive from a genetic point of view.
L’ours polaire decline, mais le grolar devrait se multiplier
Les experts s’attendent d’ailleurs à ce que la population de grolars augmente d’ici quelques années. Cet our hybrid pourrait mieux survivre au changement climatique que l’ours polaraire et le grizzly.
Dave Garshelis, chercheur au département des resources naturelles du Minnesota, pense que le pizzly est plus adapté pour survivre au climate change. Andrew Derocher, a biologist at the University of Alberta, is aussi de cet avis.
According to him, le réchaitement climatique va faire augmenter la hybride d’ours population dans l’Arctique canadien où l’ours polaire est voué à décliner.
Source: Le Figaro